La Fédération Congolaise de Football Association, a formulé une demande en urgence, à la Confédération Africaine de Football Association, pour la visite d’inspection du stad Kibasa Maliba de Lubumbashi.
Elle l’a fait à travers une correspondance datée du 30 décembre 2022 signée par le secrétaire général Belge Situatala, qui est parvenue à notre rédaction ce lundi.
En effet, dans cette correspondance, la Fecofa propose la date du 06 janvier 2023 comme une date butoire que la CAF doit « évaluer l’état actuel du stade Kibasa Maliba aux termes des travaux de réhabilitation réalisés par la province du Haut-Katanga afin d’une approbation pour les matches de compétition de la CAF».
Dans la même lettre, la Fecofa affirme que « comme il s’agit d’une visite sollicitée…elle s’engage donc à couvrir les frais de voyage international, les frais de visa, les indemnités de mission pour l’inspecteur, le transport, le repas et l’hébergement », lit-on.
Pour la mémoire :
Le stade Kibassa Maliba a reçu, vers la fin du mois de décembre, l’inspecteur de la Confédération africaine de football, M. Emmanuel Kande. Une visite en guise de mission de pré-inspection en vue de l’homologation de l’enceinte, qui va prochainement abriter les matchs nationaux et internationaux. Lancés le samedi 02 juillet 2022, les travaux arrivent à leur terme et les autorités provinciales espèrent que l’enceinte sera homologuée à temps pour que les équipes engagées aux interclubs puissent y jouer notamment la phase de groupes.
Timothée Yebe
You may also like
-
Football / AS Vita Club : « Je tiens à préciser que le joueur Nzungu n’est pas abandonné », Jean de Dieu Kimpepe SGA.
-
Football / Coupe du monde des clubs : Démarrage ce mercredi de la 19ème édition de la Coupe du monde des clubs au Maroc, le continent africain sera représenté par deux clubs !
-
RDC : « Otez vos mains de l’Afrique ! » dit le Pape François
-
RDC : Plusieurs personnalités présentes à Ndolo dont Moise Katumbi, Martin Fayulu, Bruno Tshibala… pour participer à la première messe publique du Pape.
-
RDC : «Nous souffrons tellement. Nous avons abandonné nos champs et nous ne trouvons plus quoi mettre sous la dent alors qu’on vivait bien dans nos villages », disent des rescapés des massacres et autres actes de violences au Pape.