En effet, cet accord est dans le but de réaliser un grand projet énergétique entre les deux pays pour augmenter la production de l’électricien.
« Une première phase consistera à renforcer les capacités de transport des lignes entre la Centrale électrique du Congo de Pointe-Noire et la Centrale hydroélectrique d’Inga en RDC via Brazzaville », et ensuite suivront « plusieurs phases d’augmentation de capacité de production d’énergie électrique et de construction de lignes de transport associées », peut-on lire dans le document officiel de l’accord.
À en croire l’Agence France Presse, la capacité de production de la Centrale électrique du Congo (à Pointe-Noire) devrait alors passer de 484 à 750 mégawatts, puis 1.000 mégawatts grâce au gaz produit par la société italienne Eni. Malgré les investissements consentis dans le secteur et l’augmentation ces 20 dernières années de la puissance installée, passée de 89 à plus de 800 mégawatts, les coupures et les délestages sont quotidiens à Brazzaville et Pointe-Noire.
Selon les signataires, la boucle alimentera plusieurs lignes à haute et très haute tension destinées à fournir de l’énergie, notamment aux industries minières en RDC, singulièrement dans le Katanga.
L’accord a été conclu pour une durée indéterminée et devra faire l’objet d’une évaluation tous les cinq ans. Mais aucune indication n’a été donnée sur le coût de financement du projet.
Timothée Yebe/SIMCONGO.NET
You may also like
-
Football / CAF : TP Mazembe battu en déplacement par Al-hilal du Soudan de Florent Ibenge
-
Football / Linafoot : Vita Club s’impose face à l’Etoile du Kivu et progresse au classement
-
RDC : L’itinérance de Félix Antoine Tshisekedi de fin novembre-début décembre a permis de recentrer l’attention du gouvernement sur les actions du PDL-145T
-
RDC : Les constructions anarchiques sur les emprises publiques dans le viseur du gouvernement
-
Football / LDC – CAF : Maniema Union et Raja Casablanca se neutralisent