La troisième audience de l’affaire des prostituées chinoises à Kinshasa va se tenir ce jeudi 18 novembre 2021, au tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe qui siège en procédure de flagrance.
.
Lors du premier et deuxième jour du procès, le tribunal a entendu plusieurs témoins et renseignants ainsi que les différents prévenus.
Et aussi, à en croire les dépositions qui ont été reçues par le tribunal, ces filles étaient conduites dans des endroits tels que Cité du fleuve et d’autres hôtels luxueux de la capitale congolaise auprès de leurs partenaires.
En effet, le procès va se poursuivre ce jeudi 18 novembre 2021.
Pour rappel, la police nationale congolaise a réussi à mettre la main sur un réseau des prostituées chinoises au nombre de 21 et leurs clients , le lundi 15 novembre 2021, à Gombe précisément dans l’ancienne résidence de la chaîne de télévision Télé 50 se trouvant dans l’avenue mandariniers.
À en croire les informations, ces prostituées chinoises sont venues sans papier de la Chine en RDC dans le but de satisfaire les appétits sexuels de résidants chinois en RDC et quelques congolais assoiffés et obsédés par sexe.
Elles travaillaient pour le compte d’un réseau de traite des personnes à Kinshasa. Un réseau constitué des hommes et des femmes qui œuvrent dans la gestion des annonces, location des appartements, sécurité des filles, recrutement des prostituées chinoises etc…
Timothée Yebe/SIMCONGO.NET
You may also like
-
Football / AS Vita Club : « Je tiens à préciser que le joueur Nzungu n’est pas abandonné », Jean de Dieu Kimpepe SGA.
-
Football / Coupe du monde des clubs : Démarrage ce mercredi de la 19ème édition de la Coupe du monde des clubs au Maroc, le continent africain sera représenté par deux clubs !
-
RDC : « Otez vos mains de l’Afrique ! » dit le Pape François
-
RDC : Plusieurs personnalités présentes à Ndolo dont Moise Katumbi, Martin Fayulu, Bruno Tshibala… pour participer à la première messe publique du Pape.
-
RDC : «Nous souffrons tellement. Nous avons abandonné nos champs et nous ne trouvons plus quoi mettre sous la dent alors qu’on vivait bien dans nos villages », disent des rescapés des massacres et autres actes de violences au Pape.